Dans une démocratie comme la nôtre, soutenir de toutes ses forces et de tout son cœur les Iraniennes qui au péril de leurs vies défendent la dignité des femmes est un devoir.
Il y va de la défense des droits universels gravés dans la Déclaration Universelle des droits de l’homme de 1948. Associer dans la défense des Iraniennes, les hommes qui les soutiennent et dont certains ont été ignominieusement exécutés pour cela est un même impératif catégorique. Espérons que ce colloque incitera la presse française à relayer cette cause existentielle pour les droits humains, car on ne peut accepter au XXIe siècle qu’un régime politique se réclamant au surplus d’une inspiration divine… tue les siens et notamment le fleuron de sa jeunesse.